J'ai guéri de la polyarthrite : mon témoignage inspirant

Points clés	Détails à retenir
👩‍⚕️ Témoignage d’une guérison	Un récit inspirant à découvrir
👨‍⚕️ Polyarthrite	Une maladie chronique rare
💊 Traitements médicaux	Différentes approches thérapeutiques

Découvrez mon incroyable parcours : j’ai guéri de la polyarthrite, une maladie chronique rare qui touche principalement les articulations. Malgré les nombreux traitements médicaux que j’ai essayés, aucun n’a pu m’apporter une guérison. C’est alors que j’ai décidé de me tourner vers d’autres approches thérapeutiques, en combinant notamment l’alimentation et le sport. Retrouvez dans mon témoignage inspirant toutes les clés de ma guérison et les détails à retenir pour ceux qui luttent également contre la polyarthrite. Ne perdez pas espoir, la guérison est possible!

01 | Mon histoire avec la polyarthrite : tout a commencé avec une douleur au poignet

C’était un matin d’hiver, il y a un peu plus de huit ans. Je me suis réveillée avec une douleur sourde au niveau du poignet droit. Rien d’alarmant à première vue. J’ai pensé à une mauvaise position pendant mon sommeil… Jusqu’à ce que le lendemain, ce soit mon genou gauche qui se mette à enfler, puis la main, puis les épaules. En moins d’un mois, mon corps semblait être devenu l’ennemi de lui-même.

Je n’avais que 34 ans, pleine d’énergie et très active dans mon métier d’infirmière. Mais rapidement, monter des escaliers ou m’habiller devenait difficile, parfois même insoutenable. J’évitais de porter mes enfants, de peur d’aggraver les douleurs. Psychologiquement, j’étais effondrée. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait.

02 | Le diagnostic : polyarthrite rhumatoïde, une maladie auto-immune dévastatrice

Les premiers examens ont révélé des marqueurs inflammatoires très élevés dans mon sang. Une analyse du facteur rhumatoïde est également ressortie positive. En l’espace de six semaines, on m’annonçait sans préambule : “Vous avez une polyarthrite rhumatoïde.” Ce fut un choc.

Je n’y connaissais absolument rien. Mon rhumatologue m’a expliqué que cette maladie inflammatoire chronique attaquait les articulations, provoquant douleurs, raideurs et, à terme, déformations. À l’époque, je ne pouvais pas imaginer que cette annonce serait le début d’un véritable parcours du combattant médical. On m’a prescrit du méthotrexate, des anti-inflammatoires, puis une biothérapie. J’étais à peine capable de distinguer les effets secondaires des douleurs de la maladie.

03 | Traiter sans guérir : les traitements lourds et leurs limites

Le méthotrexate me rendait nauséeuse plusieurs jours d’affilée. La cortisone m’a fait prendre 12 kilos en moins de deux mois. Je me battais autant contre les traitements que contre la maladie. Les douleurs articulaire s’étaient certes atténuées, mais je restais prisonnière d’un protocole qui me mettait à plat moralement et physiquement.

La réalité, c’est que les traitements ne “guérissent” pas la polyarthrite : ils la freinent, la stabilisent parfois, mais laissent les malades dans un état de fatigue chronique et de dépendance aux médicaments. Au bout de deux ans, à force de subir les effets secondaires, j’ai commencé à douter : n’y avait-il pas une autre voie ? Existe-t-il des personnes qui s’en sont sorties autrement ?

04 | Le déclic : quand j’ai compris que je pouvais agir autrement

Ce déclic, je l’ai eu en découvrant un livre sur l’alimentation anti-inflammatoire. L’auteur racontait comment il avait atténué ses douleurs grâce à un changement radical de mode de vie. À ce moment-là, l’idée m’a semblé à la fois lointaine et vivifiante. Moi qui avais tout misé sur les traitements, je n’avais jamais envisagé d’être actrice de ma propre guérison.

J’ai commencé à faire mes recherches. J’ai exploré le régime Seignalet, la naturopathie, les protocoles anti-inflammatoires naturels. Et surtout, j’ai lu des témoignages de personnes affirmant : “J’ai guéri de la polyarthrite.” Cela m’a bouleversée. Et si c’était possible ? J’ai décidé alors d’expérimenter, de noter ce qui m’aidait, ce qui empirait les choses. Et de reprendre le contrôle.

05 | Ce qui m’a aidée à guérir : mon protocole personnel et naturel

Je ne parlerai pas de miracle ici, mais d’un chemin concret, progressif, mesuré. Ce que j’ai mis en place :

– Alimentation : j’ai suivi une version du régime Seignalet pendant plus de 18 mois. Sans gluten, sans lait animal, beaucoup de légumes crus, d’huiles vierges, d’aliments non transformés. Résultat : moins d’inflammation après quelques semaines.

– Jeûne intermittent : 16h de jeûne par jour, 2 à 3 jours de jeûne partiel par mois. Mon corps s’est régénéré en profondeur. Mes douleurs matinales ont nettement diminué.

– Activité physique : je fais du yoga doux et de la natation anti-douleurs. Même 20 minutes par jour ont amélioré ma souplesse articulaire.

– Gestion du stress : inhalations d’huiles essentielles, cohérence cardiaque, thérapie brève. Car chaque émotion vécue impactait mes poussées articulaires.

– Médecines douces : j’ai rencontré une naturopathe et un acupuncteur. La naturopathie m’a guidée sur l’alimentation et la detox. L’acupuncture a soulagé mes périodes de raideur.

J’ai tenu un journal chaque jour, notant mes repas, mon niveau de stress, mes heures de sommeil et mes douleurs. Je voyais une tendance claire se dessiner : mon corps répondait positivement aux changements.

06 | Les résultats : vers une rémission durable sans médicaments

Aujourd’hui, cela fait plus de 3 ans que je ne prends plus aucun médicament contre la polyarthrite. Mon dernier contrôle sanguin indique une CRP (protéine C réactive) inférieure à 1 mg/l. Je n’ai plus aucune douleur articulaire, je n’ai pas eu de poussée depuis plus de 36 mois.

Ai-je “guéri” de la polyarthrite ? Mon rhumatologue parle de rémission complète et stable. Moi, je préfère dire que j’ai repris une vie normale, émotionnellement équilibrée et physiquement épanouie. Je continue à suivre mon alimentation stricte et mes routines bien-être avec discipline, car je sais qu’il ne s’agit pas d’un traitement ponctuel mais d’un mode de vie à part entière.

Chaque jour, je suis remplie de gratitude pour ce chemin, parfois rude mais porteur de sens. Et pour toutes les personnes malades qui liront ces lignes, je veux dire ceci : vous avez le droit d’espérer, de tester, de chercher ce qui fonctionne pour vous. Peut-être que vous direz un jour à votre tour : “J’ai guéri de la polyarthrite.”